Il y a :
Celles et ceux qui réussissent brillamment la certification Voltaire.
Celles et ceux qui effectuent une recherche lorsqu’ils doutent.
Celles et ceux qui choisissent d’employer la forme la plus logique lorsque le doute s’installe.
Celles et ceux qui utilisent simplement le correcteur orthographique de Word.
Celles et ceux qui soumettent leur texte à ChatGPT.
Celles et ceux qui écrivent et se soucient de la forme comme de leur première dent de lait.
Et enfin, celles et ceux qui n’osent pas partager leurs écrits ou pire n’osent même pas écrire car se considèrent comme nuls.
Et oui, l’orthographe et la grammaire sont ce que l’habit donne au moine… Sans orthographe, notre CV ou notre manuscrit finit à la poubelle !
Je tiens à écrire ici que beaucoup de mes clientes et clients ont de grandes qualités de communication, de narration ou d’argumentation, une imagination foisonnante, le sens de l’à-propos ou de la formule, une pensée métaphorique, et tant d’autres qualités nécessaires à l’écriture.
Tant d’écrits tués dans l’œuf, annihilés, restés lettre morte…
Alors non, les écrivains publics ne sont pas là pour juger, censurer, verbaliser… Simplement apporter leurs compétences au service d’autres compétences, encourager…
Chaque cliente, chaque client apréciera, je pense, que l’on travaille non pas pour, mais avec elle ou lui.